Comment J'Y Suis Venu Ep 5 : L'Apocalypse
COMMENT J'Y SUIS VENU EP 5 : L'APOCALYPSE
Bon d'accord le titre peut faire peur mais il ne faut pas avoir peur. Moi j'ai pas peur de rien sauf que
Si quand même un peu ! Je ne me sentais pas encore prêt à annoncer à qui que ce soit mon petit fantasme, c'est vrai que ce n'était plus en fantasme depuis que je le vivais vraiment pleinement comme je le faisais à ce moment ( même si '' pleinement '' est un mot un peu excessif ) . En fait le mot apocalypse signifie '' Révélation'' et c'est bien d'une révélation que je parle
Quoi vous pensiez à une quelconque fin du monde ? Mais enfin c'est pas la saison ! La dernière fin du monde annoncée c'était seulement le mois dernier et puis
Eh, éh, éh
On est toujours là. Remarquez moi ça m'arrange parce que les fins du monde, c'est pas trop mon trip mais je suis en train de sortir du sujet là
J'ai l'impression
C'est en fait à cet instant que j'ai vraiment compris qu'un jour ou l'autre, si je continuais à délirer comme je le faisais avec le dispositif de chasteté, il faudrait l'annoncer à mes copines de baises
L'annoncer !
Le révéler
Bon il y en un qui n'a pas compris
Annoncer
Révéler ! Révéler
Révélation ! Révélation
Apocalypse !
Non je me moque pas mais il y en avait un au fond qui n'avait pas compris ! J'vous jure. Bon maintenant ça y est ! En fait ces commentaires ridicules que j'écris depuis plus de trois paragraphes ne sont là que pour masquer un certain embarras de ma part
Il faudrait bien un jour ou l'autre que j'annonce à mes proches et je ne savais pas du tout comment faire ni comment ils allaient réagir. Benoît va se foutre de ma gueule mais là je m'en fou Benoît c'est une connasse ( je dis ça mais c'est avec beaucoup de tendresse )
Mais les autres
?
Je m'étais arrêté ou moi ? Ah oui ! Donc on sonnait à la porte
C'était mon copain Francis qui passait me voir sans prévenir.
J'allais ouvrir.
Francis : Ça va ma grosse ? Tu ne devineras jamais ce qui m'arrive. J'ai plus d'internet.
Moi : Ah ! ...
Francis : Il n'y a plus rien qui marche dans mon quartier !
Moi : Ah ! ...
Francis : Tu sais l'orage d'hier ?
Moi : Euh ? ...
Francis : La foudre est tombée juste à côté de chez moi !
Moi : Oh ! ...
Francis : Le poste de branchement à cramé !
Moi : Ah ! ...
Francis : Le téléphone ne marche plus, mais ça c'est pas grave !
Moi : Bein ! ...
Francis : Remarque le téléphone on s'en fout, il reste le portable.
Moi : Béé !
Francis : C'est surtout pour Internet
Ça marche plus !
Moi : Eh ! ...
Francis : Je peux utiliser ton ordinateur ?
Moi : Bééh !
Francis : Tu m'as l'air en forme toi aujourd'hui, tu n'arrêtes pas de parler !
Moi :
E
!
Francis : A part ça, ça va toi ?
Il me faisait la bise et se retrouvait devant mon ordinateur avant que j'ai le temps de refermer la porte.
Quelques instants plus tard je l'entendais rigoler
'' Et merde j'avais oublié de fermer mon navigateur
''
Il était ouvert sur la dernière page consultée.
Vous avez deviné ? Même au fond celui que ne comprenait rien tout à l'heure ?
Je déconne, faite pas gaffe, j'étais
Comment dire
embarrassé ? Oui c'est à peu près ça '' Embarrassé '' !
J'étais embarrassé ! J'arrivais juste derrière Francis, il regardait le site que j'avais visité avant son arrivée. Ça l'amusait.
Francis : Là tu as trouvé quelque chose, c'est le délire ce truc. Je ne savais pas que ça existait ! Remarque ils ne savent plus quoi inventer ! Tu sais tu es vraiment un marrant toi, tu trouves de ces trucs sur Internet ! Ça te déranges pas si je ferme la page ?
Je ne bougeais pas, je ne répondais rien et Francis qui est plus futé que j'en ai l'air se retournait et me regardait droit dans les yeux.
Francis : Tu as l'air bizarre toi aujourd'hui !
Moi : Euh
Non !
Tu peux fermer le navigateur si tu veux !
Il retournait rapidement le regard vers l'écran puis continuait en me regardant toujours droit dans les yeux.
Francis : Tu es plus bavard toi d'habitude !
Moi : Moi ?
Francis : Bein oui toi ! Il n'y a personne d'autre ici ? Ça va j'ai compris ! Tu n'est pas tout seul et je te dérange.
Moi : Euh
Non !
Francis : Je ne connais pas alors !
Moi : Non mais
Francis : C'est une fille ! Tu étais avec une fille ! J'y crois pas ! Dis moi pas que c'est pas vrai je ne suis pas sûr de ne pas te croire !
Il est plus futé qu'il en a l'air François, il a tout compris, depuis le temps qu'il me connaît et qu'on baise ensemble. Il sait que je préfère me faire enculer que d'enculer. Mais là je suis hors sujet !
Il me regardait en souriant. '' Tu es vraiment sûr que ça va ? ''. Je regardais l'écran, son regard passait de moi à mon écran, avec son doigt il montrait l'écran et se retournait ver moi avec un regard interrogatif. Sur l'écran il y avait en gros la photo du dispositif qui m'avait inspiré mon modèle perso !
En tremblant, je luis répondait enfin
'' Oui d'accord, je
''
Puis je baissais mon pantalon, je baissait aussi la tête. J'étais embarrassé, mais quand je dis embarrassé
Francis : Approche s'il te plaît, je voudrais voir ça de plus prêt.
Je m'approchais, il avait un sourire amusé, il me caressais les couilles. Quelques secondes avant il y avait de la place dans la cage mais soudainement elle se retrouvait pleine et se relevait. La pression montait.
Il avait toujours ce sourire quand il se relevait. Il me regardait avec un regard rieur en baissant son pantalon et le laissait tomber sur ses chevilles. Il avait visiblement l'air amusé en ouvrant sa chemise et en se rasseyant
Francis : Vas y suce moi la bite.
Il bandait déjà bien et je ne l'obligeais pas à se répéter. J'avais fantasmé sur cet instant depuis déjà un long moment. J'en avais rêvé. C'était ça la frustration que je recherchais, faire jouir un pote de baise tout en restant enfermé dans une cage de chasteté, ne même pas pouvoir bander pendant qu'il m'enfoncerait sa queue dans la gorge. C'était entendu je ne demanderais rien, je ne suggérerais rien, je me contenterais de faire tout ce qu'il me demanderais et de le faire au mieux !
J'avais une furieuse envie qu'il m'encule. Il le sait lui que j'aime quand il m'encule. Mais il allait faire quoi là, maintenant
Il allait s'amuser
Tester la situation, expérimenter mes réactions
Il aime bien rigoler et je sentais qu'il ne s'en priverais pas.
Je le suçais en m'appliquant de mon mieux
Francis : Ouah ! Mais c'est une impression ou quoi ? Mais tu suce de mieux en mieux !
Je ne m'arrêtais pas, il me caressait les cheveux et tirait ma tête vers lui pour m'obliger à avaler sa queue sur toute sa longueur ( comme si c'était nécessaire de m'obliger à avaler ! ).
Au bout de dix bonnes minutes il repoussait doucement ma tête, se relevait, envoyait balader son pantalon plus loin ainsi que ses chaussures et chaussettes, suivait la chemise...
Francis : Si tu retirais tes fringues
On se retrouvait nu. Il s'installait à mon bureau et me faisait signe de passer en dessous. Je ne me faisais pas prier, il écartait les cuisses, et commençait à faire son truc sur Internet pendant que moi je le suçais. Par moment je me tapais la tête au bureau, c'est qu'il n'y a pas beaucoup de place la dessous. Il m'encourageait à continuer, il avait baisé le siège au maximum pour me laisser un peu plus de place.
Il était concentré sur ce qu'il faisait mais m'encourageait, je l'entendais taper sur le clavier. Ils s'arrêtait régulièrement pour me caresser les cheveux. Il avait un mot gentil '' Tu t'améliores ma grosse, tu t'améliore
'' ou encore '' Si tu continue je te garde sous clé en permanence
'' ! Ça c'était sensé m'encourager je suppose
Je sentais ses réaction, il appréciais et se dandinait sur le fauteuil, il écartait encore plus les cuisses et se laissait glisser sur le fauteuil et avec une main me retenais la tête au moment ou il me giclait dans la bouche.
Francis : Reste comme ça tu seras mignon, j'ai pas fini mon truc.
J'avais décidé de faire tout ce qu'il me demanderais aussi je ne bougeais pas, je gardais sa queue dans la bouche sans bouger. J'étais bien installé, ma position n'était pas inconfortable aussi
S'il n'y avait que cela pour lui faire plaisir !
Je ne sais combien de temps je suis resté dans cette position mais au bout d'un moment je sentais sa queue qui prenait à nouveau du volume. C'était marrant, je ne faisais rien, ou presque rien. Il fallait bien que je respire et que j'avale ma salive, ça produisait ment des mouvements dans ma bouche, des mouvement de ma langue. Il bandait de nouveau !
Je recommençais un mouvement de succion, doucement puis plus rapide. Plus sa queue prenait de place dans ma bouche plus je m'activais. De nouveau sa queue s'enfonçait jusque dans ma gorge. Je retirais ma tête, il me rattrapait et d'une main il me tirait vers lui. Ça me stimulait et je recommençais à le sucer.
Francis : Ça y est j'ai fini !
Il se retirait et faisait rouler le fauteuil en arrière. J'étais sous le bureau et je le regardais.
Francis : Fais voir ton truc.
Je me relevais juste devant lui et lui montrait, il me caressait les couilles longuement, je le laissais faire. Avec une main il se masturbait, ça mexcitait à mort et dans ma cage je bandais comme un fous. La peau ressortait par les trous d'aération faisait comme l'autre jour des bourrelets, un peu comme des bulles de peau. C'était pas franchement désagréable mais pas pour autant agréable
Francis : Suce moi s'il te plaît !
J'ai jamais su refuser ça à un mec qui dit '' s'il te plaît ''. Je retombais à genoux devant lui et m'activais comme je savais faire, j'y mettais tout mon cur. Je m'attendais à ce qu'à un moment il allait se lever me demander de me retourner, de me pencher en avant et de m'enculer bien à fond comme j'aime. En attendant je mappliquais. J'avalais sa queue sur toute sa longueur, relevais ma tête et sa queue ressortait, je la masturbais en léchant le gland puis je recommençais.
Sans prévenir il attrapait ma tête avec les deux mains et me tirait fermement vers lui. Mon visage était écrasé contre le bas de son ventre, il me tenait bien plaqué ainsi et giclait à nouveau dans ma gorge en poussant des râles de plaisir. Là encore pas le choix
J'avalais !
Il me lâchait alors et je retirais ma tête. Je me relevais devant lui et le regardais, il avait l'air satisfait, mon dispositif de chasteté se relevait
J'avais le souffle court, mon cur battait fort, j'étais
Frustré ! Lui aussi il avait le souffle fort, son cur battait fort, il était satisfait !
Francis : Si on parlait de ton truc. Tu sais les autres vont trouver ça complètement dingue
Moi : Ne leur dit pas !
Francis : Tu ne veux pas leur raconter ?
Moi : Pas encore, c'est trop récent.
On parlait un moment, je lui racontais toute ma démarche, je lui racontait tout. Et de toutes façons c'est juste des essais, je ne garde pas le truc trop longtemps. C'est juste pour expérimenter de nouvelles sensations.
Francis : Et la frustration ? Ça marche la frustration ?
Moi : Je suis complètement frustré là moi !
Francis : Bon, c'est Ok je ne dis rien à personne, je ne raconte rien à personne mais à une condition
Je le regardais, je ne savais pas quoi répondre. Il allait me dire quoi ? Sa condition
Lui il me regardait avec un sourire de travers comme celui qui prépare un mauvais coup.
Moi : Alors. Parle. C'est quoi ta condition ?
Francis : Je prend le contrôle de ta période dentraînement. Tu me donnes les clés, on s'installe ensemble, chez moi ou chez toi et tu deviens mon esclave !
Moi : Non mais tu rêve ! Je ne suis pas un esclave ! Ça c'est même pas négociable ! Non mais tu rêve !
Francis : Tu passeras l'aspirateur, la cuisine et
Moi : L'aspirateur c'est dans le cul que tu te le prends si tu veux m'obliger à le passer et la cuisine, je te garantis que la choucroute c'est sur la tête que tu vas la recevoir !
Francis : Ok ne te mets pas en colère, il doit bien y avoir un terrain d'entente
On discutait un bon moment puis on finissait par se mettre d'accord. On vivrait ensemble et il aurait le contrôle sur mon plaisir
Je lui donnerais donc les clés, on dormirait ensemble et je m'engageais à ne pas m'amuser avec des godes ou des plugs. Je serais bien son esclave pendant tout le temps ou je porterais ce truc mais son esclave sexuel seulement
son vide couille quoi. Je le suce quand il me le demande, il m'encule quand il le désire ( le plus souvent possible ). On fixe un délais maximum pendant lequel je devrais garder le truc. Il est en plastique donc facile à retirer en cas d'urgence mais pour cela il faudrait le détruire et je ne pourrais pas le lui dissimuler.
Francis : Un mois, tu le gardes au moins un mois !
Moi : Non pas un mois c'est la première fois que je porte ce truc .
Francis : Et alors ! Tu me dis que c'est confortable.
Moi : C'est confortable mais je ne l'ai jamais gardé plus de quelques heures !
Francis : Mais toi tu es un pro et puis tu es un enculé toi pas un enculeur.
Moi : Facile à dire, on voit que c'est pas toi qui est à ma place !
Francis : Tu me propose quoi alors ?
Moi : On est mercredi
Disons jusqu'au week-end
Il pouffait de rire.
Francis : Non mais tu rigole, deux jour, c'est tout ce que tu vises
Deux semaines. Mais c'est uniquement parce que tu commences. Ensuite tu fais un break et tu y retournes !
Moi : Disons jusqu'à la fin de la semaine prochaine.
Francis : Tu me fais rigoler là, tu n'est pas sérieux ?
Moi : Je commence !
Francis : Tu ne sais pas ce que tu veux !
Moi : Si mais je
Euh
Il insistait lourdement mais je ne lâchais rien, on finissait par se mettre d'accord et on fixais quelques règles. Je le porterais jusqu'à la fin de la semaine suivante mais ce serait renouvelable
Je ne sais pas pourquoi j'ai dis oui. Il va rajouter deux semaines c'est sûr. Je sentais ma queue presser contre ma cage de chasteté en pensant à ça. Pas de douleur. Et si c'était en fait ce que je voulais, et si j'avais envie d'être un peu poussé, un peu contraint et pas seulement encouragé. Je bandais à fond dans ma cage et je me disais que finalement
Après son départ je me demandais ce qui s'était passé. Pendant un moment je ne comprenais plus rien, je n'avais pas rêvé. Francis était au courant de mon délire, il m'avais vu à poil avec ce truc, je l'avais sucé ( bon ça c'était pas la première fois ), et c'est lui qui avait les clés. Il allait revenir, il dormirait avec moi ce soir ( ça non plus c'était pas la première fois ).
Mais il y avait un petit truc
Je m'étais engagé à être son esclave sexuel. Sexuel uniquement je ne passait pas l'aspirateur et ne lavait pas les vitres. Sexuel donc mais
Je devrais lui obéir tant que cela ne révélera pas mon secret
Pourquoi il avait voulu absolument ce dernier point de détail ? Il avait insisté en plus
'' Tant que cela ne dévoilera pas ton secret ''. Il l'avait dit de plusieurs manières
Finalement j'ai commencé ce texte par tout un laïus sur le mot '' Apocalypse '' et je me demande si au final on ne devrait pas le prendre au sens populaire, au sens simple
C'est la fin !
Je vous ai déjà fait le coup ! C'est pas la fin de l'histoire, c'est juste la fin, pour moi, je suis mal quoi. Franchement me retrouver dans cette situation, j'ai vraiment des idées de fou quand je m'y mets moi !
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